

Née à Ottawa, elle a grandi à Almonte et dans la Côte-de-Sable entourée de ses «quatre mères» — sa mère, sa grand-mère et ses deux tantes — ainsi que de son frère, de ses sœurs et de ses cousins. Elle passait les étés de son enfance à Wychwood, au bord de la rivière.
Marthe a consacré 34 années à l’enseignement, une carrière marquée par la passion et le dévouement. Durant sa retraite, elle a poursuivi son engagement envers les autres à travers le bénévolat à la Maison Mathieu Froment-Savoie, à la banque alimentaire et en donnant des cours de francisation.
En dépit du fait qu’elle ait été atteinte du cancer à quatre reprises depuis la trentaine, elle vivait pleinement avec courage, gratitude et humour, considérant chaque journée comme un véritable cadeau.
Mariée pendant 42 ans à Jean, l’amour de sa vie et son meilleur ami, elle a connu avec lui beaucoup de bonheur jusqu’à son décès subit en 2018. De leur union sont nées deux filles et six petits-enfants, qu’elle chérissait tendrement. Maman et mamie douce, taquine, drôle et attentionnée, elle rayonnait de bienveillance.
Amoureuse de la nature, elle trouvait la paix en travaillant dans ses jardins immenses au chalet. Passionnée de lecture, d’apprentissage (notamment de l’espagnol), de yoga, de cinéma, de théâtre et de moments partagés entre amis, elle aimait surtout cuisiner pour ceux qu’elle aimait, leur préparant avec soin des plats savoureux et remplis d’amour.
Son petit corps abritait une grande âme. Marthe était une personne lumineuse, dotée d’un bonheur contagieux et d’un sens de l’humour pétillant. Elle savait écouter avec attention, empathie et avait le don de faire briller les autres. Tous ceux qui la côtoyaient se sentaient grandis par sa présence.
Elle laisse dans le deuil ses deux filles Anika (Jacek) et Émilie (Dermot), ses six petits-enfants (Wilfrid, Sam, Michel, Rafaël, Devrik et Rosie), ses soeurs Suzanne (Jean-Marc) et Monica (feu Roger), son frère Mike (Lise), ses cousins et cousines, ses neveux et nièces, son beau-frère et sa belle-soeur ainsi que ses nombreux amis.
Une célébration de sa vie aura lieu au printemps — une saison qui lui ressemble tant — en compagnie de sa famille et de ses amis.
La famille tient à exprimer sa profonde gratitude envers le personnel de la Maison Mathieu Froment-Savoie et du CLSC, pour leurs soins empreints d’humanité et de douceur.
Plutôt que des fleurs, vos témoignages de sympathie peuvent se traduire par un don à la Maison Mathieu Froment-Savoie.
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