Cher André,
Tu nous quittes bien trop vite mais je tiens à te dire tant de mercis car le temps nous a manqué:
Merci d'avoir partagé pendant toutes ces années ton énergie intense avec nous,
Merci pour ta bonté, ta generosite,
Merci pour les rires et ta bonne humeur, pour ta jovialité,
Merci pour tes délicieux gravlax,
Merci pour tout le ski, parfois sans skis!
Merci pour tous ces synchros qui ont fait ta signature à St-So.
Tu pars trop vite mais ce qui me console c'est ta façon d'avoir profité à fond de tes rêves!
J'espère que là où tu es, la neige est belle....

Ton amie et élève fidèle
Chantal Blais



André, je garde présent en mon esprit et en mon coeur, ton sourire contagieux et ton accueil chaleureux qui donnaient
le bon ton à chaque début de journée à la montagne.
J'ai un souhait à formuler, voici: que ta passion du ski se continue à travers nous (les moniteurs).
Mes plus sincères condoléances à la famille, aux proches, aux amis et collègues de André.
Myonne 

André,

Tu as été mon mentor, mon inspiration, mon ami et même, un grand frère.Tu as su me communiquer ta passion pour le ski comme nul autre n'aurait su le faire. Si j'ai revêtu le manteau rouge aujourd'hui et que j'essaie d'enseigner avec ce même feu sacré que tu avais dans les yeux, c'est bien parce que tu as cru en moi et ça me touche beaucoup. Nous aurons eu de merveilleux moments de ski ensemble et j'ai tout de même une mince consolation, celle d'avoir partagé un magnifique voyage en ta compagnie et celle d'Andrée. La montagne ne sera plus la même désormais mais saches que tu seras toujours présent dans nos cœurs et sur les pentes !

Sylvie et Patrice

A Andrée et frères et soeurs d'André nous offrons nos plus sincères condoléances,suite au décès de notre bon ami André qui va nous manquer énormément .
Sa passion du ski et sa bonne humeur de tous le jours resteront sa marque de commerce personnelle.
Merçi André 

Cher André,
J’ai eu la joie et le plaisir de te connaitre, de travailler avec toi et même de skier avec toi. Tu as été un être très apprécié, jovial et heureux de vivre. Ta bonhommie et ton humour étaient transmissibles et éclairaient nos cœurs. Tu as aussi  été un sacré travailleur et ta perspicacité, ta persévérance, ta résilience étaient des exemples pour beaucoup. Tu croquais la vie, tu aimais le monde et ce fut un grand plaisir de te côtoyer, de te connaitre et de partager ces instants avec toi. 

Adieu, mon ami, tu vas énormément nous manquer.

Ton ami, le « Français » qui est devenu un peu plus Québécois grâce à toi.

J’offre mes plus sincères condoléances à la famille et  aux proches.


Ce fût toute une surprise d'apprendre le décès d'André. Je garderai le souvenir d'un bon gars , passionné et dévoué. 
Merci pour toutes ces belles années de ski à tes côtés. 
Je tiens à offrir toute mon affection à Andrée et les siens.
Grosse bise
Julie


Cher André. Tu as marqué la vie de milliers de personnes et ta mémoire y sera gravé à jamais. Sincères condoléances à la famille et l'entourage immédiat.

Adieu cher André. Merci pour ton passage dans ma vie. Bon voyage ! Nicole Collin xxx 


C’est avec une grande tristesse que j’ai appris le décès d’André. Il était un collègue  respecté et très apprécié. Un être profondément bon, loyal et un grand optimiste qui nous a fait souvent rire. Il était aimé de tous et il va nous manquer.
J’offre  à sa famille et ses amis  mes plus sincères condoléances 


My condolences to the Choquette family. Andre was a consummate professional at Brother. He will be missed.

Mes condoléances à la famille Choquette. André était un vrai professionnel chez Brother. Il nous manquera.

Arie Karaartinian
Brother Canada

Je n’oublierai pas André, un collègue très apprécié et chaleureux qui va beaucoup nous manquer.  Veuillez recevoir mes condoléances très sincères et croire en mes respectueux sentiments. Bon courage.

C'est avec grande surprise et tristesse que j'apprends cette nouvelle. J'ai connu André pendant mon temps comme Directeur chez Axidata/Office Depot et lui chez Brother. nous avions développé de belles affaires ensembles et ce pendant plusieurs années. J'ai toujours apprécié nos échanges, nos dîners d'affaires, ton enthousiasme, ton professionnalisme et ton franc parlé. Je te salut André. Ton départ me chagrine.

Cher André, ma rencontre avec toi a été déterminante dans ma progression de la pratique du ski.  Tu m'as emmené au-delà de mes espérances, ta passion de l'enseignement et la recherche de l'excellence  ont fait de toi un coach hors-pair et je te suis reconnaissante pour le niveau que j'ai pu atteindre.  Je garde le souvenir d'un homme intense et passionné, merci.  Demain, je skierai pour toi, dans les sommets des Alpes...tout près de toi sur ton étoile.xo

Bonjour.
J'ai écrit ce texte sur mon blogue en souvenir de cet "Aigle"

"Ode a un Aigle"
http://www.centaurus.ca/reflexions/ode-a-un-aigle/

Aujourd’hui, je viens de perdre un collègue, un rival, un mentor, un complice, un passionné de ski, mais surtout un homme qui est devenu un ami pour la vie. Voici notre histoire…

***
Je vais longtemps me souvenir de ce repas, dans un hôtel de Québec. Il était tard, nous avions eu une longue journée de travail moi et mon patron. Lui, un bon vivant, épicurien, passionné de ski, et tellement voué à son travail. La formule « work hard, play hard » est sa devise depuis toujours. Nous avions déjà enfilé plusieurs bouteilles de vin, et nous terminions la soirée avec une belle assiette de fromage. Cette soirée fut LA soirée ou deux aigles avaient fait la paix. La soirée où nous avons pris la décision mutuelle de nous respecter en tant qu’AIGLE à part entière. Nous avions trinqué à la vie, au futur et au plaisir d’être en vie.

***

Plus agé que moi, notre relation a débuté dans le tumulte. Moi, jeune loup voulant faire mes preuves, lui le senior qui les avaient faites et qui voulait prouver sa valeur à un employeur toujours plus exigeant de ses gens. Nous nous sommes retrouvés dans la même boîte, et tant de son côté que du mien, un statut ambigu, inconfortable… Il ne m’a pas choisi, je ne l’ai pas choisi non plus. J’ai été en quelque sorte imposé à lui. Et lui, personnalité forte, avait des convictions profondes, et moi, tout autant convaincu, mais pas toujours des mêmes choses.

Les affrontements étaient épiques, et souvent, très souvent, nous nous sommes écorché les ailes, comme le font deux aigles qui volent dans un enclos trop petit pour les deux. Et la bataille n’était pas toujours belle à voir pour les non initiés à nos discussions musclées. Les mots, directs et indirects, les renfrognements, les messages incendiaires et inutiles étaient nombreux. Les malversations volontaires ou involontaires faisaient de nous des rivaux…

Mais toujours, lorsque la pression montait un peu trop haute, il désamorçait la situation avec un rire bien senti, qui venait du fond du coeur. Il savait me laisser, moi jeune loup, l’illusion de la victoire, tout en me faisant bien comprendre que ce n’était rien. Mais je savais que la bataille n’était pas finie. Ce rire annonçait simplement la fin d’un round de boxe, et je savais que le match allait continuer plus tard, sur d’autres sujets, sur d’autres arènes.

Mais avec le temps et surtout après cette soirée de paix, nous avons bâti une complicité digne des grands moments, une complicité vraiment puissante. Et lorsque nous trouvions une bataille ou l’objectif était commun, nous devenions les deux meilleurs guerriers du monde. Stratège des grands moments, fondamentalement pragmatique et terrain, il réfléchissait et agissait. Seul le résultat comptait. Moi, je lui apportais la confiance, l’innovation, le dépassement de lui même, le goût d’aller plus loin. Une complicité qui nous a permis de très belles victoires de mettre des trophées installés dans mon « hall of fame » psychologique; cette allée de fierté dont je me nourris encore aujourd’hui.

Il était un passionné de ski. Il enseignait tous les hivers le ski avec la même passion qui l’animait. Il enseignait et suivait les jeunes qui avaient 10, 20 ou même 30 ans plus jeunes que lui. Il s’entrainait tout l’hiver pour atteindre le niveau de ces bombes volantes sur les pistes, pour être en mesure de prouver une fois de plus qu’il avait sa place sur la montagne. Il était le ROI de cette montagne.

Mais tout comme deux aigles, notre enclos et nos ciels étaient toujours un peu trop petits. Donc, nécessairement tant lui que moi, devions-nous rétracter sans une certaine tristesse. Mais un jour, le ciel c’est ouvert pour moi. J’ai décidé d’ouvrir mes ailes un peu plus, et de m’envoler vers d’autres cieux.

Mais lui est resté. Fondamentalement loyal, il était persuadé que sa mission n’était pas finie dans cet environnement, il avait d’autres batailles gagner, d’autres luttes à finir. Moi, j’avais fini… Ces batailles ne m’intéressaient plus. Donc, je suis parti en laissant mon complice mener ses batailles.

Il a continué ses batailles, il en a gagné, il en a perdu… Il a toujours gardé cet humour et sa passion du ski. À tous les 6 mois depuis les sept dernières années, nous gardions contact, nous échangions une bonne conversation comme dans le bon vieux temps. Nous parlions de projets, de stratégie, de vente, de développement commercial, de politique externe et interne. Nous pouvions en avoir pour une bonne heure de complicité retrouvée. J’avais trouvé mon ciel, et nous discutions d’égal à égal, d’aigles à aigles, pour nous permettre tous les deux d’aller plus haut. Souvent, je lui ai offert de venir se joindre à mon ciel, et toujours il a refusé poliment en disant qu’il n’avait pas fini encore, qu’il avait encore du travail à faire, qu’il avait des « aiglons à entrainer à voler ». Nous nous sommes dit que nous allions continuer à échanger, si ce n’est que cela faisait plaisir à l’âme.

Malheureusement, il est parti, subitement il y a quelques jours. L’aigle a quitté son ciel, il a rejoint les ancêtres.

***
Ce que je retiens de cette histoire. Au-delà de l’homme, je vais garder que cet aigle ne laissait jamais la place à la médisance, à la médiocrité, à l’erreur, un homme exigeant tant pour lui que pour les autres. Mais surtout que nous avons appris à vivre ensemble, nous respecter, et nous apprécier. Et malgré nos fortes personnalités, malgré nos rivalités, nous avons réussi à « voler ensemble dans le firmament »

Alors, si j’ai une seule chose à vous suggérer c’est celle-ci :

Si dans votre environnement tant personnel que professionnel, vous êtes un aigle et qu’autour de vous un autre aigle patrouille le même ciel, appréciez-le et apprenez à vivre ensemble. Assoyez-vous et discutez franchement de la situation. Expliquez ce qui vous fait de l’ombre et prenez le temps de vous respecter. Lorsque la situation l’impose, baissez la tête dignement, en vous disant que la prochaine fois, ce sera votre tour. Faites-le dans le respect de chacun, et pour le futur collectif. Combattre un aigle est et sera toujours une perte d’énergie pour le « greater good » de votre entreprise.
Si cet aigle est plus jeune que vous, laissez-le s’élever dans le respect.
Si l’aigle est plus vieux que vous, laissez-le aussi s’élever dans le respect.
Si l’aigle est de votre âge, élevez-vous ensemble dans le respect.

Mais, n’oubliez jamais qu’un aigle est un aigle, et qu’il le restera toujours !

Et une bouteille de vin sera toujours un bon moyen d’ouvrir la discussion !

Farewell, André, will miss you!

Andrée, Madeleine (Tremblay) et moi offrons à ta famille nos plus sincères condoléances.  Nous sommes a l'extérieur du pays en ce moment.  Mais nous sommes de tout cœur avec vous.

As a former collueage of Andre, I had the great pleasure  to know him and respect him greatly. He was a vibrant and passionate  man. This world will be a much emptier place with him no longer in it. My most heartfelt sympathies go out to all his family and friends. You are all in my thoughts and prayers, along with Andre.

God bless
Harriet Shugar. And Richard Schanck

OBITUARY

André Choquette

10 November, 1955 – 23 February, 2014

Les Salons Funéraires Guay

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